Chronique d’un Reste Aurateur - Gény'All l'iroquois
Depuis, longtemps déjà, en somme je crois que j’ai toujours rêvé en secret comme pour m’apaiser.
Boire un long et intense baiser profond à la bouche des goûts de ceux qui vous enivrent l’esprit et les pensées.
Par ciel d’où le miel vous nourrit de my-riades des toiles pétillantes dans vos soleils visibles.
Sentiments unis vers sel.
Salé de sacs à roses, cons forts de celui qui efface toute apparence des forts.
S’oublier.
Respirations sans ration, et mélange des mots, scions…
Mais l’ange … ! Quel en je ?
Non, l’ enjeu , En jeu !
Vacances de soi.
Hein ! Quoi ?
Pourquoi ça ne dure pas … ?
_Ah ! Bah! Bein !
Où ça Gabin ?
Gabin où Gamin ?
Ah, son sac à main !
Chut ! Ecoutez, Mains tenant,
je pense tout simplement que l’autre se lasse.
Un jour, les faiblesses qui nous intéressent ne font plus recette. On les trouve simplement désuètes.
Et poux êtes, Poètes.
Pas trop chouette, mais bon chacun Hibou comme il peut.

Photo Julie Ladret